oui ! Bien sûr ! La démarche écologique ne doit pas être une entrave au commerce. Nous accompagnerons le virage écologique tout en dynamisant. Avec des animations plus nombreuses, mobilisant davantage le monde associatif, et surtout les jeunes, qui drainent autour d’eux parents et copains, copines. Une politique de rachat des locaux vides, qui seraient prêtés aux associations, en alternance, pour amener des personnes qui ont déserté le centre ville.
Un centre ville vivant, c’est un centre ville auquel on accède facilement, mais où les promeneurs ne sont pas gênés par la présence des voitures. Il faut donc que les véhicules puissent se stationner mais que la priorité soit donnée aux piétons, aux familles : les bus doivent s’arrêter au plus près des rues commerçantes : dans notre projet de développement des lignes de bus, nous conserverons les arrêts place des Arts, mais sans laisser les bus y stationner. Nous améliorerons la signalétique d’accès au centre ville commerçant depuis la gare avec un cheminement plus clair. Depuis le port, en concertation avec l’Agglo, il y a un gros travail à faire sur la sortie haute du funiculaire et la continuité piétonnière.
Un système de parking + navette + prêt de caddie pour un seul et même ticket sera étudié, en concertation avec les commerçants.
La commune accompagnera au plus près le CCIAT, mais aussi tous les commerçants qui sont en dehors de la structure. La politique de faire diminuer les déchets, que ce soit dans les poubelles ou en amont, bénéficiera pleinement aux commerces, qui pourront communiquer sur le sujet.
Nous reverrons les fréquences et horaires de ramassage des ordures ménagères, une ville écolo est forcément une ville plus propre. Nous communiquerons sur l’interdiction de jeter les mégots dans les rues, qui sont non seulement une importante pollution visuelle mais aussi un danger pour la qualité de l’eau.